LUCIEN BROUILLARD

Long métrage dramatique, 90 minutes, 1983.


Drame social et psychologique, "Lucien Brouillard" est aussi un film à l'action rebondissante "qui ne laissera pas une seconde aux spectateurs pour s'ennuyer. Ils ne trouveront pas de références d'un film de ce genre dans tout le cinéma québécois".

Manon PECLET, Dimanche-Matin, 20 mars 1983


Vous rêviez d'un cinéma qui parlerait des vrais problèmes et du vrai monde ordinaire? Vous voilà servi. (...) On y sent un ton nouveau, une démarche qui ne ressemble à aucune autre, du moins dans le cinéma québécois. Voilà un réalisateur qui possède le sens du rythme et qui sait doser les temps forts.

Luc PERREAULT, La Presse, 26 mars 1983


Ce premier long métrage de fiction de Carrière s'impose rapidement. Pas de perte de temps, pas de bavardage et encore moins d'images superflues. (...) un film étoffé, sensible, touchant aussi par moments (...)

Franco NUOVO, Le Journal de Montréal, 26 mars 1983


(...) le milieu social est représenté avec justesse et vitalité a un point tel que le personnage de Lucien Brouillard et le milieu qui l'entoure se fondent pour ainsi dire dans une même force, une même présence. Il est évident aussi que Bruno Carrière a le sens de l'image. Sa mise en scène est souvent énergique, profondément cinématographique et il a su exploiter au maximum les moyens limités d'un budget de $600,000.

Richard GAY, Le Devoir, 26 mars 1983


Pierre Curzi is marvellous as a working-class Quebecer whose battle for right is finally self-destructive. Carrière is a convincing director of both actors and narrative, and he's packaged the movie with clean, unpretentious technique.

Anne REITER, Cinema Canada, May 1983


First feature from Montreal helmer Bruno Carrière, its plusses are intelligent, thought-provoking script, first-class acting and imaginative direction. Pierre Curzi as Brouillard and Roger Blay as Martineau turn in marvelous performance, ably supported by Marie Tifo as Brouillard's wife who supports him until even she can endure no more. Tech credits are fine.

DOGO, Variety, June 29, 1983


Lucien Brouillard, de Bruno Carrière (Canada), une des plus parfaites premières oeuvres du festival (de Mannheim) sur le plan filmique (...)

Film-Korrespondenz, 25 octobre 1983