DOUBLE EMPLOI

REVUE DE PRESSE - COMPILATION
TÉLÉFILM, 93 minutes, 2000.


Première diffusion en prime-time à l'antenne de France 2
LE MERCREDI 2 MAI 2001 À 20H50
Part de marché relevée par
Médiamétrie sur la France: 25%
5 200 000 spectateurs


Un sujet astucieux, et fort, traité avec intelligence. Un bon téléfilm français.
...une remarquable vision de la folie humaine. Jean-Pierre Cassel campe un DRH terrifiant... Les apparitions de Guy Tréjan sont de pures bijoux. Jean-Claude Leguay et Marc Berman (les deux Antoine Marchand) jouent à merveille de leur ambiguïtés. Une homonymie prétexte à une comédie jubilatoire menée tambour battant. Oscillant entre comédie et polar, ce téléfilm signé Bruno Carrière est une réussite. Si l'on se passionne pour les facettes de l'âme humaine, alors " Double emploi " en sera le miroir. Dorian Gray l'eût aimé.

Delphine de Malherbe , TéléOps - le nouvel Opservateur , 28 avril 2001


Téléfilm réjouissant qui renoue avec la tradition du duo improbable, cocasse et complémentaire. À partir d'une situation de comédie pure - habilement exploitée - le téléfilm brosse un portrait au vitriole du monde de l'entreprise et de ses " ressources inhumaines "... La satire est impitoyable et fait même des clins d'oeil à l'actualité...

Hélène Marzolf , Télérama (T), 25 avril 2001


Le téléfilm de Bruno Carrière retrace parfaitement la vie de bureau, celle des requins aux dents longues, des cadres se faisant des croche-pieds pour se monter au sommet, avec lucidité, ironie et tendresse.

Caroline Bonnefond, Libération, 2 mai 2001


Sur le ton de la comédie, une impitoyable satire de la sacro-sainte entreprise, rires jaunes compris.

Dany Stive, l'Humanité, 2 mai 2001


L'idée est originale et les acteurs plus que convaincants.

France Soir, 2 mai 2001


...Une vraie bonne comédie et, qui plus est, percutante. Ses meilleurs atouts: le très efficace tandem Jean-Claude Leguay-Marc Berman.
Et Jean-Pierre Cassel, inénarrable dans la peau d'un curieux DRH.

Télé 7 jours, 28 avril 2001


Un réel plaisir que cet audacieux exercice de style, pimenté par l'irrésistible composition de Jean-Pierre Cassel.

Télé 7 jours, 28 avril 2001